En Nouvelle-Aquitaine, les AVC touchent 2 personnes par heure. La prévention contre ces « attaques » est efficace, mais il faut aussi savoir reconnaître les signes d’un AVC pour agir vite et éviter les séquelles.
Un accident vasculaire cérébral, également appelé « attaque », survient lorsque la circulation sanguine dans ou vers le cerveau est interrompue, soit par un vaisseau sanguin bouché (AVC ischémique), soit par déchirure d’un vaisseau sanguin provoquant une hémorragie dans le cerveau (AVC hémorragique).
En conséquence, les cellules du cerveau ne reçoivent plus l’oxygène et les nutriments dont elles ont besoin pour fonctionner normalement. Certaines sont endommagées, d’autres meurent.
L’hypertension artérielle est le principal facteur de risque, mais parfois il n’est pas possible de savoir ce qui a causé l’AVC.
- les AVC ischémiques ou infarctus cérébraux représentent 80% des AVC
- les AVC hémorragiques représentent (20% des AVC)
Selon le type d’AVC (et notamment les AVC ischémiques), des traitements efficaces existent, mais ils ne peuvent être administrés que dans les 4h30 qui suivent le début de l’AVC. En effet, un diagnostic et une prise en charge précoces permettent de réduire de 30% la mortalité ainsi que le risque et la gravité des séquelles.