Komlan Eklou est ce journaliste choisi par la Société RENE DESCAMPS INTERNATIONAL (RDI) dans le cadre du programme de développement de la culture d’excellence en Afrique qu’a initié ladite société et de la journée Internationale de la liberté de la Presse. Ainsi, la cérémonie de remise de prix a eu lieu ce samedi 6 juin à Lomé devant un parterre de journalistes.
En effet, depuis un temps la société spécialisée dans les domaines de l’Aéronautique et équipements Aéroportuaires, du Ferroviaire, d’Auto/ Poids lourds et TP, Hôtellerie, Shipchandler, Informatique et Téléphonie, Equipements des hôpitaux (Médical et Para, Hôpitaux, Laboratoires), Logistique (Aérien, Maritime, AOG), et Equipements portuaires a choisi d’encourager la culture de l’excellence en Afrique. Pour cela, elle a initié le « prix d’excellence RENE DESCAMPS INTERNATIONAL».
A part celui des meilleurs élèves au CEPD et des meilleurs journalistes, ce prix vient d’avoir une innovation, le Prix d’excellence RDI- ICÔNE DE LA PRESSE.
Pour cette première édition et selon ses critères, RDI a choisi Komla EKLU, journaliste et Consultant, correspondant de la radio France internationale (RFI) comme Icône de la presse 2015 pour son management de l’information, son professionnalisme et son dynamisme.
Pour Eric AMETSIPE Directeur RDI-TOGO représentant le Directeur Général « Cette initiative s’inscrit aussi dans le programme de développement de la culture de l’excellence en Afrique, de la Centrale d’Achat RDI.
Nous considérons les journalistes comme des portes voix. Et cette action de redistribution des bénéfices de la société dans le social, vise à promouvoir l’excellence dans tous les domaines que se soit à l’école comme dans le secteur professionnel ».
Pour sa part M. EKLOU n’a pas voilé combien de fois il est surpris de ce geste de la société.
« Je ne suis que le premier surpris. Après plus de 40 années de métier, je vois dans le monde médiatique les succès de mes anciens étudiants, et cela ne peut que me fortifier.
Je profite de l’occasion pour rendre un hommage à tous ceux qui transmettent leur savoir à la relève de demain», a-t-il laissé entendre.
Notons qu’ils étaient près d’une trentaine de journalistes africains répondant aux critères de sélection dont le nombre d’années d’expérience (20 ans au minimum), la pratique du journalisme, avoir été patron d’un organe de presse, être un africain, être un encadreur et un modèle pour la jeune garde.