La Société de Gestion et d’Intermédiation (SGI-TOGO) a lancé le jeudi 23 mars 2023, la première édition des journées portes ouvertes.
Ayant pour thème « À quoi sert un placement pour votre vie », les journées portes ouvertes se tiendront sur deux jours, et permettront aux visiteurs de se familiariser au système de bourses et des investissements auprès des Togolais afin d’atteindre une large cible d’investisseurs qui ne savent pas encore les opportunités qui leur sont offertes pour faire fructifier leur épargne et pour permettre aux sociétés désireuses de financer leur croissance à travers les supports du marché financier.
Pendant ces deux jours, trois sujets seront débattus dont un portant sur la comparaison entre une banque et une SGI”
Prenant la parole, Jean k.Etse l’actuel Directeur Général de la SGI-Togo dit: « Le thème de nos journées portes ouvertes est très large, ce qui nous permet de toucher toutes les catégories sociales et tous les supports de placement qui existent, que ce soit au niveau des banques, des compagnies d’assurances ou des structures de microfinance. Nous avons débattu avec des participants qui étaient composés de clients institutionnels, de prospects et d’étudiants dans le secteur de la banque et de la finance»
L’un des principaux objectifs de ces journées portes ouvertes est d’arriver à toucher toutes les couches sociales de notre pays afin de les informer non seulement sur l’existence du rôle de la SGI mais aussi de susciter en elles une envie d’investir a travers la création d’un compte.
« Pour disposer d’un compte dans notre société, il faut avoir deux photos d’identité, la copie de la pièce d’identité, une somme de 10 000 F CFA pour les frais de dossier et une somme de 150 000 F CFA avec laquelle on peut débuter. Au cours de la vie du compte, on peut toutefois l’alimenter chaque mois quand on le veut et constituer un portefeuille important pour les plans d’épargne accès consécutifs » a précisé le DG.
Il faut noter que plusieurs autorités étaient présentes, parmi lesquelles on peut citer l’ex-ministre des travaux publics Nisao GNONFAM, modérateur du panel.
Kossi BOUTOU.
