Le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Pr Mijiyawa Moustapha a lancé le mardi 28 juin à Lomé lors d’un point de presse, les Journées de Santé de l’Enfant (JSE) qui se dérouleront du 29 juin au 3 juillet dans les deux régions pilotes de la Kara et des Savanes.
Les JSE prennent en compte des évènements spéciaux qui se déroulent pendant une période déterminée au cours de laquelle on délivre un paquet de services préventifs pour la survie de l’enfant dans le souci de contribuer à la réduction de la morbidité et de la mortalité chez l’enfant de moins de 5ans.
Selon les interventions par tranche d’âges, les enfants de 0 à 11 mois seront vaccinés, ceux de 1 à 2 ans incomplètement vaccinés seront récupérés et vaccinés, ceux de 6 mois à 5 ans recevront la vitamine A et seront dépistés de la malnutrition tandis que les enfants de 1 à 5 ans seront dépara sités. Les femmes enceintes seront également vaccinées contre le tétanos.
Cette activité constitue une alternative pour poursuivre les interventions à haut impact sur la santé et la nutrition, en faveur des enfants et des femmes enceintes, en dehors des campagnes traditionnelles de vaccination contre la poliomyélite dont l’organisation ne tient plus pour les pays que l’on considère comme suffisamment protégés de cette maladie, à l’instar du Togo.
Le ministre en charge de la Santé a indiqué que les maladies infectieuses et parasitaires, de même que la malnutrition sont une préoccupation constante du chef de l’Etat et du gouvernement togolais, ainsi que de leurs partenaires, au premier rang desquels figurent l’OMS et l’UNICEF. Il a précisé que les actions synergiques des uns et des autres ont conduit depuis 2005 à la mise en œuvre de campagnes de supplémentation en vitamine A et de déparasitage à l’albendazole, couplé aux vaccinations contre la poliomyélite et la rougeole, avec un taux de couverture satisfaisant.
« Le souci de consolider les acquis et d’atteindre la totalité des populations cibles a conduit le Togo et des pays de la sous-région à organiser les présentes journées de santé de l’enfant dont la phase pilote sera conduite dans les régions des Savanes et de la Kara », a-t-il déclaré.
Le ministre a affirmé qu’aucun enfant de moins de 5 ans ne doit échapper à cette œuvre salutaire de santé publique. A cet effet, il a invité toute la population, hommes, femmes, enfants, jeunes, responsable, autorités administratives, traditionnelles et religieuses des deux régions à saisir cette occasion pour mettre les enfants à l’abri des maladies dont-ils paient un lourd tribut.
Il a invité les communicateurs, les journalistes, les animateurs des médias publics que privés à s’y impliquer afin d’assurer une large diffusion de ces journées jusque dans les hameaux les plus reculés.
Le représentant résident du l’UNICEF, Dr Isselmou Boukhary a indiqué que son institution a contribué à l’organisation de ces journées avec 103 millions de FCFA provenant de l’Agence canadienne de développement international. Il a révélé qu’en décembre prochain, qu’ils vont rééditer ces journées dans le souci de les organiser deux fois dans l’année avec un écart de 4 à 6 mois entre les phases.
Dr Isselmou Boukhary a indiqué que l’organisation de ces journées seront étendues à l’ensemble du territoire national en 2017. Il a promis de mobiliser des ressources pour le soutien des JSE pendant quatre années consécutives.
Le représentant résident de l’UNICEF a exhorté les parties prenantes à organiser les JSE de qualité pour maintenir les acquis et renforcer la routine.
La représentante de l’OMS, Dr Lawson-Evi Koko a invité les journalistes à continuer la sensibilisation après ces journées du fait que certaines personnes qui habitent loin des formations sanitaires ignorent leur importance.
La cérémonie de lancement des activités a mobilisé également les experts nationaux de la
Santé, tous les partenaires au développement qui accompagnent le Togo dans le domaine.
Les JSE prennent en compte des évènements spéciaux qui se déroulent pendant une période déterminée au cours de laquelle on délivre un paquet de services préventifs pour la survie de l’enfant dans le souci de contribuer à la réduction de la morbidité et de la mortalité chez l’enfant de moins de 5ans.
Selon les interventions par tranche d’âges, les enfants de 0 à 11 mois seront vaccinés, ceux de 1 à 2 ans incomplètement vaccinés seront récupérés et vaccinés, ceux de 6 mois à 5 ans recevront la vitamine A et seront dépistés de la malnutrition tandis que les enfants de 1 à 5 ans seront dépara sités. Les femmes enceintes seront également vaccinées contre le tétanos.
Cette activité constitue une alternative pour poursuivre les interventions à haut impact sur la santé et la nutrition, en faveur des enfants et des femmes enceintes, en dehors des campagnes traditionnelles de vaccination contre la poliomyélite dont l’organisation ne tient plus pour les pays que l’on considère comme suffisamment protégés de cette maladie, à l’instar du Togo.
Le ministre en charge de la Santé a indiqué que les maladies infectieuses et parasitaires, de même que la malnutrition sont une préoccupation constante du chef de l’Etat et du gouvernement togolais, ainsi que de leurs partenaires, au premier rang desquels figurent l’OMS et l’UNICEF. Il a précisé que les actions synergiques des uns et des autres ont conduit depuis 2005 à la mise en œuvre de campagnes de supplémentation en vitamine A et de déparasitage à l’albendazole, couplé aux vaccinations contre la poliomyélite et la rougeole, avec un taux de couverture satisfaisant.
« Le souci de consolider les acquis et d’atteindre la totalité des populations cibles a conduit le Togo et des pays de la sous-région à organiser les présentes journées de santé de l’enfant dont la phase pilote sera conduite dans les régions des Savanes et de la Kara », a-t-il déclaré.
Le ministre a affirmé qu’aucun enfant de moins de 5 ans ne doit échapper à cette œuvre salutaire de santé publique. A cet effet, il a invité toute la population, hommes, femmes, enfants, jeunes, responsable, autorités administratives, traditionnelles et religieuses des deux régions à saisir cette occasion pour mettre les enfants à l’abri des maladies dont-ils paient un lourd tribut.
Il a invité les communicateurs, les journalistes, les animateurs des médias publics que privés à s’y impliquer afin d’assurer une large diffusion de ces journées jusque dans les hameaux les plus reculés.
Le représentant résident du l’UNICEF, Dr Isselmou Boukhary a indiqué que son institution a contribué à l’organisation de ces journées avec 103 millions de FCFA provenant de l’Agence canadienne de développement international. Il a révélé qu’en décembre prochain, qu’ils vont rééditer ces journées dans le souci de les organiser deux fois dans l’année avec un écart de 4 à 6 mois entre les phases.
Dr Isselmou Boukhary a indiqué que l’organisation de ces journées seront étendues à l’ensemble du territoire national en 2017. Il a promis de mobiliser des ressources pour le soutien des JSE pendant quatre années consécutives.
Le représentant résident de l’UNICEF a exhorté les parties prenantes à organiser les JSE de qualité pour maintenir les acquis et renforcer la routine.
La représentante de l’OMS, Dr Lawson-Evi Koko a invité les journalistes à continuer la sensibilisation après ces journées du fait que certaines personnes qui habitent loin des formations sanitaires ignorent leur importance.
La cérémonie de lancement des activités a mobilisé également les experts nationaux de la
Santé, tous les partenaires au développement qui accompagnent le Togo dans le domaine.