La société « Socaobiz Security » réputée dans la sécurité civile et le gardiennage au Togo a ouvert officiellement ses portes, le mercredi 5 juillet dernier à Kara. La société « Socaobiz Security » dont le siège est aux Etats Unis s’est installée à Kara, il y a juste un mois et fournit des services de sécurité des gardes non-armés, de sécurité du personnel régulier et celle des patrouilles de véhicules marqués. Elle assure également la sécurité pour la gestion du trafic et de l’incendie avec l’aide des services techniques des sapeurs-pompiers experts en la matière.
Le lancement des activités de cette société a été marqué par une caravane dans les artères de la ville de Kara, organisée de concert avec d’autres sociétés de ladite ville pour annoncer leur présence et service aux populations à l’aube de la foire village Evala, édition 2023. La caravane a permis aussi de sensibiliser la population sur les offres de la société « Socaobiz Security ».

Pour le président directeur général de la société « Socaobiz Security », Bouraïma Soumaïla, l’installation de sa société au Togo, vise à offrir des services de garde de sécurité agrées et de qualité à des tarifs compétitifs et à donner de l’emploi aux jeunes togolais restés au pays. Il a, à cet effet, évoqué les nombreux efforts entrepris par sa société qui ont contribué à changer la vie et à impacter le pouvoir d’achat de certaines couches défavorisées. « Démarrée à Lomé avec un salaire de 55 mille francs CFA par mois, un agent de sécurité de cette société, est aujourd’hui à 70 mille francs CFA, ceci pour permettre aux agents de sécurité de se sentir importants et de se donner davantage au travail », a dit M. Bouraïma.
Installée au Togo depuis 2 ans, Socaobiz Security a déjà enregistré 350 employés composés de 150 agents permanents et 200 à temps partiel. Avec son stand porte ouverte, elle vient d’embaucher 72 autres agents rien que pour la Foire Village Evala, afin d’assurer la sécurité des personnes et des biens dont elle fait son bâton de pèlerin. A la fin des Evala certains de ces agents vont continuer à travailler à Lomé. SG/SED