La 10e édition du festival international des musiques d’Afrique dénommé Africa Rythms a été lancée le mardi 27 juin au cours d’une conférence de presse à l’Institut français du Togo.
Cette dixième édition se tient du 26 juin au 1er juillet 2017 à l’Institut français du Togo.
Cette rencontre avec la presse a été l’occasion pour le directeur du festival, Monsieur Bégbessou de faire le bilan des 10 ans de Africa Rythms. Il a indiqué que le festival a permis de former des promoteurs culturels, faire des échanges d’artistes avec d’autres pays et aux artistes nationaux de voyager pour découvrir d’autres scènes sur le plan international.
« Aujourd’hui à sa dixième édition, Africa Rythms, festival international des musiques d’Afrique, combinant l’utile et l’agréable sur chacune de ses éditions a marqué l’agenda culturel de la musique togolaise et du continent », a confié le Promoteur.
Il a précisé que depuis le début de cet événement, une cinquantaine d’artistes et groupes togolais programmés ainsi que des artistes venus de plus de 14 pays d’Afrique et du monde se sont Le directeur du festival a affirmé que cette année, un programme riche et diversifié mettra une fois encore le Togo sur la scène internationale.
Il est prévu trois concerts : le premier le jeudi 29 juin avec Wood sound (Bénin) et Lord Carlos (Togo) ; le deuxième de musiques urbaines le vendredi 30 juin avec Matador (Sénégal), Kan Aa et Peewii (Togo) et le troisième de World music, le samedi 1e juillet avec John Arcadius (Bénin), Cheikh Lo (Sénégal) et Sitara (Togo) tous à 19h.
Outre les spectacles, deux ateliers de formation en « Régie de spectacle » et en
« Management de carrière artistique » sont prévus à l’intention des acteurs culturels et un salon de la musique « Kiyekou ».
Une rencontre d’échanges autour de la thématique « la circulation des oeuvres musicales africaines, en Afrique et dans le monde » est aussi programmée et ouvert à tout acteur culturel ou amateur.
Le festival a été lancé par le directeur de la Promotion des Arts et de la Culture, Arouna Madohona en présence de la directrice de l’Institut français Edwige Sauzon-Bouit.